Dữ liệu người dùng, đánh giá và đề xuất cho sách
Sách được viết bởi Bởi: Quỳnh Thy
I absolutely loved it!
Sách được viết bởi Bởi: Sarah Rubin
Susan is a very simple woman with some learning disabilities which makes it clearer why she has had so much trouble dealing with fame. I wish her the best.
Sách được viết bởi Bởi: Rebecca Bielawski
This book created one of the most lively discussions in my book club because of the questions we had about the plot, the characters, the context. When we selected Great House for our discussion we thought it would be a quick, easy read----this was truly a case of "don't judge a book by it's cover". Nicole Krauss is a gifted writer who has the talent to afford readers to draw various conclusions about the connections between the characters in this intriguing book. Aside from the desk, which is possibly the real main character and moves from character to character, I was constantly trying to figure out how the desk was connected to each of the human characters. It was really interesting to hear the different perspectives from our book discussion group and there were always "aha" moments followed by "No, maybe this is who the character is and how they are related to the desk or each other.
Sách được viết bởi Bởi: Nhiều Tác Giả
I heard about Danticat by winning tickets to hear her speak, so decided to investigate her writings in order of publication. This is the first of her novels, and the first book to make me cry - one surprising and solitary, but fat and rolling tear - right at the end. Very fast and good read with lessons about life in Haiti along the way. I'm working through her other books as I write this.
Sách được viết bởi Bởi: Lynh Miêu
"Parce qu'on porte le feu?" "Oui, parce qu'on porte le feu" Ces deux phrases reviennent à plusieurs reprises tout au long du roman, comme un leitmotiv. Leur importance est d'autant plus prépondérante que les échanges entre les deux protagonistes sont rares et surtout concis. Quelques phrases échangées de temps en temps. De toute manière, les mots ne les aideraient pas à survivre. Les mots qu'ils emploient sont inutiles; les choses qu'ils avaient coutume de qualifier ou de décrire n'existent plus. Le monde tel que l'homme et l'enfant l'ont connu a disparu, recouvert sous une couche de cendres. Cormac McCarty a créé un monde gonflé d'un silence douloureux, où chaque mot prononcé semble peser une tonne. Chaque mot qu'ils prononcent s'apparente à une montagne qu'il faut déplacer, un rocher à hisser au sommet d'une colline mais qui finira toujours par redescendre, comme le châtiment de ce pauvre Sisyphe, avec l'espoir qu'un jour peut-être, tout cela prendra fin. Ils marchent tout deux, ils avancent continuellement vers une destination inconnue... juste vers le sud, rien de plus précis. Un lieu plus sûr, un lieu où ils seraient en sécurité je suppose. Mais au fond, l'homme ne dit jamais pourquoi ils vont vers le sud, ou bien ce qu'ils vont y trouver. Tout simplement parce qu'il l'ignore. Il sait tout juste comment les maintenir tous les deux en vie, jour après jour, en quête de nourriture et d'eau. Le fantôme de la femme, probablement l'épouse de l'homme, ou du moins la mère de l'enfant, est pesant, angoissant et surtout désespérant à travers cette sorte de prédiction qu'elle énonce, cette vérité cruelle qu'elle lui jette au visage, et qui le hante perpétuellement et constitue un véritable fardeau. Ils portent le feu. Quel est ce feu? Est-ce celui de l'espoir? Celui de l'humanité? Ou bien est-ce une référence au feu que Prométhée vola aux dieux pour en faire présent aux hommes? Un feu sacré qui continue de brûler en eux, les maintenant en vie. Le feu de la survie. La chaleur, le revolver, la mémoire. Ce qui m'a réellement impressionné, ce sont la force et le courage de cet homme, seul avec son fils, dans un monde désert et chaotique, où le désespoir, la peur, et l'horreur sont les seules notions qui puissent encore être connues et observées; cet homme n'a jamais cessé d'être humain. Il cherche avant tout à rester un père, avant d'être un survivant ou même juste un homme. Son seul but est de protéger son fils, peu importe ce qu'il en coûte. Et l'insupportable silence de l'enfant qui ne comprend, parfois, les réactions de son père, rend l'histoire et leur relation d'autant plus tragiques. L'auteur a eu le génie de dépeindre le garçon comme un enfant, un enfant "normal" si je puis dire, qui évoluerait dans un univers normal. Il observe les attitudes des gens, leurs actions et tâche de les analyser et de les comprendre en vue de se créer sa propre image du monde, sa propre perspective. Cormac McCarty établit d'autre part une sorte de séparation entre deux sortes d'individus: d'un côté, les "gentils"; de l'autre, les "méchants". Division on ne peut plus manichéenne du monde. Et les questions incessantes de l'enfant ne font que souligner l'absurdité mais avant tout la complexité d'une telle division. Et, au fond, l'auteur ne définit jamais aucun d'eux. Le lecteur sait juste que l'homme et le garçon font partie des "gentils". Rien de plus. Après lecture du roman, on peut émettre l'hypothèse que les "gentils" sont ceux qui se refusent à manger de la chair humaine pour survivre, ceux qui rejettent le cannibalisme quitte à en mourir. Mais ce n'est finalement qu'une hypothèse. C'est tout l'intérêt de la chose d'ailleurs. Le roman nous fait réfléchir à la manière dont nous réagirions en pareil cas. La fin du monde est probable, où du moins celle de l'humanité. Cela s'est déjà produit pour d'autres espèces, cela peut recommencer. Il y tellement de livres de fiction traitant de ce sujet. Mais "La Route" est un roman puissant, hors norme. Je ne pensais pas que je pleurerais. Depuis la première page du livre, l'atmosphère était certes lourde, triste et désespérée mais je ne pensais pas que je pleurerais. C'était d'ailleurs le cas alors que j'étais presque arrivée à la fin. Mais, de manière subtile, l'écriture de Cormac McCarty s'est insinuée en moi, à la manière d'un poison qui se répand lentement de sorte que l'on n'en sent pas les effets avant qu'il soit trop tard. J'ai tellement pleuré, des flots de larmes que j'ai eu du mal à interrompre. Cela m'est arrivé sans prévenir, comme une balle en plein coeur, ou un coup dans l'estomac. C'est la raison pour laquelle ce livre est puissant, incroyable. J'ai mis tellement de temps à me décider à le lire, mais ce fut une expérience hors du commun. Un voyage vers la fin de l'humanité, et peut-être sa naissance aussi d'une certaine manière, et surtout, un voyage dans ma propre conscience. Du grand art.
Sách được viết bởi Bởi: Phúc Tiến
The short, but sad, story of Sir Harry. He wanted to make a fitting marriage for his only daughter, Emily, by marrying her to a cousin who would inherit his title. He had reservations about this plan, based on the character of the cousin, and it soon proved to be a mistake. But too late! Emily was in love. This one holds a special place for me, because I own the original of the frontispiece drawn by Peter Brookes for the Folio Society's edition of this novel, won in the Folio's "Trollope knowledge" contest. (And here I feel a bit like Bertie Wooster, who somehow always finds a way to drop the little tidbit that he won the Scripture Knowledge prize at school.)
Sách được viết bởi Bởi: Ngọ Ca
very funny intresting book!:P
Sách được viết bởi Bởi: Diana Rowland
This book details experiences of a female political prisoner. SAVAK arrests Mahin Mohtaj from her place of employment, Kanoon-e Parvaresh-e Fekri-e Koodakan va Nojavanan. She was tortured at Komiteh Zed Kharabkari, and spends time at Evin and Ghasr prisons. Ms. Mohtaj provides good description of prison life, both the treatment of the prisoners by the officials and by each other. Ultimately, Ms. Mohtaj writes a letter of remorse and gets released in 1977. This book may be obtained from [email protected]
Sách được viết bởi Bởi: Hạc Xanh
This was a good read. Franklin's writing is not at all complex but at the same time it is descriptive and the type that makes you want to underline or highlight and then go back to in the future. We discussed it at book club, and while we can always find things to pick apart,everyone liked this one.
Sách được viết bởi Bởi: Kate DiCamillo
Started strong and gripping. By the time a teenager had died in childbirth, a baby had drowned in the creek, another baby had contracted polio, the mom had died of carbon monoxide poisoning and the dad had sexually abused his six year old daughter the the space of one chapter, I had had enough of this book. Can't seem to finish the second act because I just don't care about this family's saga any longer. Too bad because I hate when a book with promise fizzles out.
Người dùng coi những cuốn sách này là thú vị nhất trong năm 2017-2018, ban biên tập của cổng thông tin "Thư viện Sách hướng dẫn" khuyến cáo rằng tất cả các độc giả sẽ làm quen với văn học này.